Conjecture Spatiale 

Conjecture : Suppositions fondées sur des probabilités

Spatiale : Relatif à l’espace dans toutes les dimensions et à son exploration

Les résultats auquel est arrivé la physique de l’Univers total, l’infini et l’observable est un échec car elle, la recherche dans son ensemble, elle à privilégié le quantitatif sur le qualitatif.

Cela a abouti à des théories qui ont expliqué en partie les conséquences physiques de ce qu’était l’Univers observable, tant la relativité générale que la quantique.

Les causes qui agissent et qui structurent essentiellement ce qu’est l’Univers dans son ensemble, l’infini et l’observable, sont intimement liées.

La problématique de la recherche sur la « vie » de l’Univers ce n’est pas la distance qui sépare la Terre de l’infini, en année lumière, mais la force qui a fait tomber la pomme de Newton, et qui a donné la Terre et le paysage galactique.

Il n’y a pas eu un, mais il y a eu une multitude de « big bang », plus ou moins énergétique, à savoir une collusion de Matière Concentrée, qui a emporté une telle masse d’énergie, la matière en mouvement, que cela a entraîné un effondrement de l’espace/durée…c’est comme si l’infini se retirait, pareil à la marée, sur lui-même…mais cela pour notre contrée, qu’est l’Univers observable, ou si vous voulez ce qui est accessible à notre champ historique. C’est une singularité qui ramène la matière à son plus simple élément après une élévation de la température à cet endroit précis de l’Univers tel qu’aucun autre élément ne peut exister que celui qui est à l’origine de toute la matière connue dans l’Univers observable. Peu importe le nom qu’on lui attribut. Température hors de portée humaine.

Les trous « noirs » les plus massifs se trouvent au centre des galaxies car ce sont eux, par l’expression de leur force d’attraction qui créent ce centre….et dialectiquement, des forces entrent en combinaisons…attraction/résistance-attraction/répulsion…

Un volume de Hubble de rayon de 13,7 milliards d’Années lumières est une partie non séparée de l’Univers.

Le vide sidéral est le lieu de naissance de l’énergie dite noire, si il n’y avait pas ce vide, l’énergie ne pourrait s’exprimer et on reviendrait très rapidement, en dessous de -380 000 si cher à Planck.

Le devenir de l’Univers n’est pas de finir dans le dernier cercle de l’Enfer de Dante, où il n’y a ni lumière, ni mouvement, ni chaleur.

La rouille aurait un charme fou si elle s’attaquait aux parois du multivers !

L’IMPOSSIBLE

L’Univers : Lui

La Terre : Nous

  • Lui : «  La résistance, la force inertielle, est le fait de forces attractives qui s’annulent partiellement entre elles, jusqu’à un certain point de rupture, là se produit un « petit big bang ».

– Lui «  je n’ai ni forme ni âge, le temps m’est inconnu… »

– Nous: « …L’infini étant le propre de l’Univers, tout ce qui n’interfère pas avec le « Big Bang » initial dans notre région de l’Univers connu/accessible, est l’infini moins le « Big Bang » :

U= I+ E

E = énergie du BB

I infini = mc2∞ ; BB Big Bang ; U univers

U = (Σ mc2)∞ = I + BB

– Lui : « …Quand il y a eu la phase qui suit cette énorme (voir beaucoup plus) concentration de matière dans la région de l’espace qui nous occupe et qui va donner l’Univers observable, minuscule résultat parmi tant et tant d’états de la matière en mouvement, ce que la communauté des scientifiques nomme l’univers connu, la matière a subi d’abord la force gravitationnelle, puis après son « épuisement », c’est-à-dire, la diminution de la force d’attraction, mais elle aura aussi fait le plein de matière possiblement « piégée » par son interaction, le reste de la matière s’en est allé vers les confin de l’infini où l’appellent d’autres forces bien plus grandes que celui qui les a engendré, le célèbre « big Bang », notre singularité !… »

– Nous : « …La physique quantique intervient précisément à ce moment, elle entre dans l’histoire car elle commence à jouer le rôle dominant au sein de la gravitation, en donnant naissance à la force de répulsion… »

-Lui « …La matière en mouvement : c’est tous les états possibles de la matière et dans toutes les lignes d’univers à l’infini…c’est moi ! »

Il n’y a pas, à proprement parler, de temps pour la matière, mais une durée, et des états successifs plus ou moins accessibles à notre science ici bas sur Terre…

« …Une personne qui ne lit que les journaux et qui dans le meilleur des cas, des livres d’auteurs contemporains, est pour moi comme une personne qui serait atteinte d’une grande myopie et qui négligerait de mettre des lunettes. Elle est totalement dépendante des préjugés et des modes de son temps, puisqu’elle ne voit ou n’entend pas autre chose. Et pour le mieux, la pensée d’une personne qui n’aurait pas été stimulée par les pensées et les expériences des autres personnes est plutôt dérisoire et monotone. Au cours d’un siècle, il y a très peu de personnes éclairées ayant un esprit et un style lucides et de bon goût.

Ce qui a été préservé de leur travail fait partie des éléments les plus précieux de l’Humanité. Grâce à des écrivains de l’Antiquité, nous savons que les personnes qui vivaient au Moyen-Age ont pu doucement s’arracher de leurs superstitions et de leur ignorance qui ont assombri leur existence durant plus de 500 ans. Rien ne nous est tant nécessaire pour surmonter le snobisme des modernistes.

On trouve rarement des hommes assez indépendants pour s’apercevoir des faiblesses et des sottises de leurs contemporains sans être infectés eux-mêmes. Mais ces hommes isolés perdent pour la plupart le courage d’agir en vue d’une amélioration, quand ils se sont rendu compte de l’obstination humaine. Ce n’est qu’à quelques rares esprits qu’il est donné de pouvoir fasciner toute une génération par des charmes et un humour délicat, et de leur présenter le miroir par le moyen impersonnel de l’art. Je salue aujourd’hui avec ma très cordiale sympathie le plus grand maître en cet art, qui nous à tous charmé et instruit : le sentiment relatif de la durée humaine dans l’espace, ici sur cette Terre qui nous a créée dans le sein de l’Univers infini… » A Eichtein

Manou le dit comme cela…

« Ce monde était dissous dans le non-être, imperceptible, sans propriété distincte, ne pouvant tomber sous les sens, ni être imaginé par la pensée. C’était le sommeil de la Nature. »

…Avant qu’une infime parcelle de matière ne se colore en bleu, ce bleu qui a permis à Manou de chanter le réveil de la nature.

Plutôt que big bang, je préfère du « Sommeil de la Nature…au Réveil de la Nature… »…Plus poétique et plus proche de la singularité qui a initié notre champ historique dans l’Univers observable.

Ce qui ne peut être approché ici par les sens, est un non-sens ! Et ce non-sens est une vérité ! L’Infini est une vérité non sensible pour l’humain.

Hors champ historique !

Pour les artistes, mais pas que, les courbures du corps de la femme sont au beau ce que les courbures de l’espace sont à la gravitation. C’est une pénétration qu’aucun « trou noir » ne peut retenir…c’est l’énergie vitale qui vient d’un bond sur la scène de l’Univers infini… »

La dialectique de l’Univers.

La question de la réalité de l’Infini est sur le plan qualitatif, et ne peut être abordé par le quantitatif de la science uniquement sous l’angle physique observable, et les ordinateurs quantiques ne sont d’aucun secours pour cette question éminemment scientifique et donc historique aux humains.

Le mouvement central dans l’Univers est d’assembler et de désassembler, disait D Diderot…

L’Univers étant infini, alors l’Univers observable subit une force attractive immense mais en équilibre, au voisinage de l’horizon des événements de sa part.

Pour que puisse se produire la singularité qui a engendré l’Univers observable, à cet endroit de l’univers très précisément de l’espace/temps, la matière sous toute ses formes s’était nécessairement raréfiée à cause de la formidable attraction qui va donner la singularité, et cela explique en partie qu’au bord de l’horizon des événements il y a une attraction puissante qui s’exerce du reste de l’Univers, ou si vous voulez, de l’Univers infini moins le notre, l’Univers observable.

Actuellement, il y a depuis la singularité initiale, un équilibre, qui à terme, et la matière est chez elle, sera rompu du fait d’un déséquilibre au sein de l’Univers observable, quand en un endroit de notre espace, des ondes gravitationnelles ne pourront plus être contenues sans déchirer l’espace/temps. On peut imaginer la rencontre simultanée de plusieurs trous concentrés qui se trouvent en équilibre instable et qui déchirent l’espace/temps dans une relation d’attraction/répulsion.

L’Univers infini, qui contient l’Univers observable a en son sein des forces qui égarent notre raison humaine. Occupons nous de notre champ historique avec la science et l’histoire. Il n’y a aucune science valable si elle ne s’inscrit pas dans l’histoire. Il ne sert strictement à rien, sauf pour amuser les enfants, de s’occuper à traiter des questions physiques qui sont et qui seront à jamais hors de notre champ historique, comme le « multivers » ou la théorie des « boucles » .

Dans le milieu interstellaire le vide est le siège de la force attractive/répulsive qui équilibre ponctuellement les galaxies en leur sein.

Dans le milieu intergalactique le vide est le siège de la force qui répulse, et qui fait éloigner les galaxies les une des autres.

Sur l’horizon des événements, une force attractive s’exerce et donne des lignes de forces dans toutes les directions de l’espace. Cela entraîné un équilibre ponctuel à l’intérieur de l’Univers observable.

D’ailleurs, au moment de l’événement de la singularité à -13,7, la matière sous toutes ses formes a du se raréfier au plan local de la singularité. Quand nous assistons, après 6,5 M années après la singularité, soit il ya 7 M années qui nous séparent, de la matière s’est agglomérée dans le plan local, et a commencée son action dominante sur la singularité depuis -13,7, en s’exprimant de plus en plus fortement, ce qui a eu pour résultat, d’attirer l’ensemble de l’Univers observable dans tous les directions de l’espace/temps et à une vitesse constante car, l’Univers infini agit comme un espace homogène au regard de l’Univers observable. Il y a une différence entre la vitesse observée et la vitesse réelle de « l’expansion » du à une non connaissance actuelle de notre science.

En d’autres termes, si vous mettez l’Univers observable, le célèbre ovale, au centre du feuille de papier, vous avez un rendu assez pertinent, bien que deux dimensions, de l’expression de cette force homogène qui agit en tous points de l’espace.

Le seul point fondamental c’est les 6,5 M années qui ont été nécessaires pour que cette force s’exprime sur l’univers connu. On trouvera bientôt des galaxies, et de plus en plus, qui seront « contemporaines plus âgées » que 13,7.

Le télescope J Weeb commence, après seulement quelques mois, à prouver que l’Univers est infini, unique et qu’il n’a pas de forme singulière, car il les contient toutes !

L’étirement de l’espace est un état de la matière à un moment énergétique donné en fonction de sa place dans la durée, cela n’est ni un étirement et ni une expansion de l’Univers, qui lui, étant infini, n’a ni bord et ni âge, mais plutôt notre capacité à regarder plus en profondeur dans l’espace : c’est notre connaissance qui est en expansion et non l’Univers.

Mouvement compris entre > à leur gh et < à la vitesse de la lumière, avec une vitesse propre et constante. Sur certaine parties du tapis il n’y a rien, mais des courbures de l’espace/durée apparaissent, et donc on est en présence de la gravitation pure à cet endroit précis de chaque tapis, que sont les lignes d’univers…

Si on prend une multitude de tapis roulants dans toutes les directions du plan dans l’espace, et à une hauteur infinie on a une représentation assez exacte du mouvement de la matière dans son espace. Les amas de galaxies qui filent sur leur ligne d’univers… 

L’hypothèse scientifique, qui se base sur le principe de la dialectique, est que l’énergie « noir » est une énergie attractive/répulsive, qui agit en fonction de la masse inerte et de la vitesse propre, à s’éloigner…mais « sur le tapis »et dans la direction opposée où s’exprime la gravitation, elle est donc une composante de la gravitation à l’état répulsif. C’est un état de la gravitation qui, lui, succédant à l’attraction, et à un point précis, que je nomme le point quantique de la gravitation, donne la répulsion. Puis au cours du mouvement de la matière ayant subi ces états précis, un changement dialectique se produit à nouveau pour donner un état ou seul le quantique domine dans une polymorphie de la matière en mouvement dans le vide spatiale, et on assiste à un étirement de l’espace…La matière danse dans son espace infini que nous nommons l’Univers observable. On est entre +380 000 et – 13,7 et il n’y a, il ne peut y avoir, que des ondes gravitationnelles et des quarks, la concentration exprime le qualitatif de la quantité par la Σ E= ∞g .mc2. ∞q dans l’univers observable issu de la singularité à -13,7.

Pour notre Univers observable : le signe négatif et positif par rapport à notre présent

∞g = vers l’infini en partant du point g, -13,7,

∞q = vers l’infini en partant du point q, + 380 000

Thèse centrale sur quoi repose la science de l’Univers.

Le temps cosmique est le temps propre d’un observateur dit « fondamental » ou « comobile » appartenant à un univers homogène et isotrope.

En pratique, l’Univers n’est pas exactement homogène et isotrope, mais en moyennant la distribution de matière de l’Univers, on peut considérer qu’il l’est et ainsi utiliser le principe cosmologique.

Le temps cosmique est alors le temps propre d’un observateur au repos par rapport à cette distribution de matière moyenne : c’est le temps de son référentiel comobile qui est le même pour tous les référentiels comobiles puisque l’Univers est homogène et isotrope. Cette situation, permise par le principe cosmologique, est exceptionnelle en relativité générale (fondement théorique de la cosmologie), car normalement il n’y existe pas de temps universel absolu, mais un temps qui est propre à chaque observateur et à sa ligne d’univers.

L’énergie noire, sombre c’est de la matière en mouvement…La dynamique en physique du cosmos impose que rien n’ai statique, tout est en phase dialectique du mouvement propre de la matière, qu’est l’Univers infini.

A partir du -13,7 où la matière s’est raréfiée aux abords de la singularité, il aura fallu près de 6,5 Milliards d’années pour que la matière comprise dans l’Univers connu entre en interaction avec le reste de la matière dans l’Univers au delà de l’horizon des événements. Pendant toute cette durée, rien n’est resté figé, immobile tout était dans son mouvement propre, mais nous l’ignorons, nous étions aveugles, dans le noir.

L’énergie de l’Univers infini, énergie dite noire, va tendre à interagir de plus en plus intensément sur l’Univers observable, et on verra apparaître des galaxies, ou de la matière qui émettra de la lumière bien avant le 13,7 MA.

La fin de la singularité, notre Big Bang, sera le moment où notre « univers » local voyagera dans ce qui est observable comme univers connus mais constitué de matière complètement nouvelles venues du confin de l’espace, de l’infini: un ciel totalement nouveau ! Notre Univers observable se dilue dans l’Univers infini.

Notre observable sera la traduction du poète …le nouveau au fond de l’inconnu…